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Où manger à Paris : 13 restaurants à ne pas manquer !

ParisParis. | Source : Getty Images

Une multitude de nouveaux restaurants ont ouvert leurs portes à Paris cette année, enrichissant un peu plus le large choix de restauration dans la capitale française.

 

Qu’il s’agisse de l’arrivée d’un nouveau chef à la tour Eiffel, d’une maison de caviar française vieille de plusieurs siècles et qui retrouve sa gloire d’antan ou d’un jeune chef colombien servant une élégante cuisine latino-américaine, Forbes vous dresse la liste des 13 adresses à ne pas manquer.

 

Vive, l’adresse idéale pour les amateurs de poisson

Si le décor lumineux et chaleureux ne suffit pas à ajouter un peu de gaieté à votre journée, les plats de poisson, excellents et copieux, s’en chargeront. Dirigé par David Le Quellec, assisté de sa femme Stéphanie Le Quellec, deux étoiles au Michelin, le restaurant Vive est le dernier projet de ce couple de choc.

Cette nouvelle adresse remplace l’ancien restaurant de poissons Rech, une institution pour les habitants de ce coin du 17e arrondissement depuis 1925. Vive dispose de magnifiques nouveaux intérieurs composés de banquettes moelleuses de couleur moutarde, d’épais tapis à motifs graphiques qui rappellent les jardins sous-marins et d’une vaisselle sur le thème du poisson. Sur les murs, les clients pourront admirer une sublime œuvre d’art constituée d’une vague de coquillages, réalisée par la jeune artiste Victoire Fontaine. Au menu, vous trouverez des poissons et des fruits de mer pêchés le jour même et apportés par le pêcheur lui-même, qui vient de Normandie en voiture.

Choisissez les praires farcies à l’ail « Vive » cuites jusqu’à ce qu’elles soient croustillantes, la dorade en ceviche, et le thon rouge, pistou menthe-coriandre. Poursuivez avec la vive à la flamme, une offre inhabituelle, servie en spirale sur l’assiette et grillée dans un bouillon savoureux et subtilement épicé. Enfin, ne partez pas sans avoir goûté le cookie aux noix de pécan à la casserole, servi bien mou et recouvert d’une grande quantité de glace à la vanille.

Vive, 62 avenue des Ternes, 75017 Paris

 

Sphère, une cuisine française raffinée aux accents japonais

Lorsque des chefs japonais, connus pour leur précision et leur souci du détail, font de la cuisine française, le résultat est généralement époustouflant. C’est le cas de Tetsuya Yoshida, qui a quitté Nagasaki, pour les lumières de Tokyo, avant de travailler dans une poignée de restaurants parisiens et d’ouvrir son propre restaurant.

L’intérieur est très élégant, avec des lignes contemporaines épurées, des tubes d’éclairage en cuivre tombant du plafond comme des bambous renversés et une palette de verts qui évoque la nature. L’endroit est une bouffée d’air frais dans le quartier des bistrots qui accueillent les employés de bureau pendant leur pause déjeuner.

Chaque bouchée de la cuisine de Tetsuya Yoshida procure un pur plaisir et sera très probablement saluée par le guide Michelin lors de la remise des prix en 2023. Suivez les conseils de l’excellent personnel et optez pour le menu dégustation surprise afin de goûter à un échantillon représentatif des plats du chef. Chacun d’entre eux est brillant, qu’il s’agisse des hors-d’œuvre (les mini madeleines sont à tomber par terre), de la lotte charnue cuite à la perfection avec des poireaux et une émulsion au beurre de noisette, du bœuf fondant servi avec une sauce, une purée de carottes et de pommes de terre, ou de la crème au chocolat pas trop sucrée, des noix caramélisées et de la tuile croustillante servie avec une glace à la vanille.

Sphère, 18 rue La Boétie, 75008 Paris

 

Nellu, le bar à vin gastro du Marais

À deux pas de l’île Saint-Louis, en plein cœur de Paris, dans le Marais, Nellu est un secret que vous voudrez garder pour vous tout seul. Une poignée de tables donnent sur la petite cuisine où Olivier Garcia, choisi par Clément Vergeat pour diriger son deuxième restaurant, fait de la magie.

Pousser la porte de ce restaurant, c’est comme découvrir un secret local. Les convives s’installent dans l’espace gris ardoise pour déguster un menu composé de classiques de la brasserie française revisités par Olivier Garcia, arrosé de vins naturels provenant du monde entier et sélectionnés par le sommelier Riccardo.

L’un des plats principaux est la saucisse au couteau. Le chef, les yeux doux cachés derrière d’épaisses lunettes rondes à monture noire, plaisante en disant qu’il avait d’abord imaginé qu’il s’agissait d’une saucisse faite avec des couteaux, alors qu’il s’agit en réalité d’une saucisse dont la viande n’est pas hachée, mais coupée au couteau. Aimant le jeu de mots, il sert la saucisse avec une sauce piquante aux couteaux, une combinaison parfaite, bien qu’improbable.

Commencez par la carbonara courge spaghetti, anguille fumée, jaune d’œuf confit et butternut pickles, qui ressemble étrangement au célèbre plat de pâtes italien, bien qu’il n’y ait pas un seul bucatini en vue, ou par les choux de Bruxelles, chorizo bellota et vinaigrette lard et huile, qui sont parfaitement équilibrés et étonnamment délicieux. Poursuivez avec la saucisse au couteaux et sa purée de pommes de terre moelleuse, et ne manquez pas la star du spectacle, la tourte de truite avec sa farce dorade, son kimchi butternut, son fumet de poisson et ses œufs de poisson. Le plat est copieux, mais il est parfait à partager.

Terminez votre repas par le caramel topinambour, pore, ganache poire chocolat, sucre de peau, siphon et chips de topinambour. L’autre dessert à la carte, la glace crème de marron, agrumes, chantilly au thé, tuile de pain d’épices et gel vin chaud est également divin et parfait pour la saison. Chacun des plats de Garcia est créatif et fait à la perfection. Le guide Michelin devrait garder un œil sur ce cher prometteur.

Nellu, 5 Rue du Pont Louis-Philippe, 75004 Paris

 

Le Petit Rétro, une dégustation de classiques français dans un bistrot Art nouveau des années 1900

S’il n’y a rien que vous aimez plus qu’un bistrot avec des intérieurs qui vous transportent dans un temps passé et des classiques français bien faits, alors Le Petit Rétro est l’endroit où aller. Ouvert à l’origine en 1904, il a été repris par le jeune chef français Irwin Durand, qui dirige le Chiberta, un restaurant étoilé au Michelin situé près des Champs-Élysées et qui fait partie du groupe de restaurants triplement étoilés du chef Guy Savoy.

C’est l’un des rares bistrots d’époque de la ville qui a survécu, et y pénétrer c’est faire un voyage dans le temps. On y trouve le bar d’origine en zinc, le carrelage blanc cassé avec des détails floraux sur le dessus, et même les petits tiroirs en bois où les habitués rangeaient leurs serviettes.

Institution du quartier, Irwin Durand, qui n’aime rien tant que de déguster un plat français traditionnel bien cuisiné comme le ris de veau, est ravi de pouvoir perpétuer l’héritage d’un tel établissement tout en y injectant certaines de ses idées plus contemporaines, comme le remplacement de la cuisine du sous-sol par une cuisine ouverte dans l’arrière-salle à manger.

La carte est restreinte, mais comporte des plats typiques de la cuisine française bien exécutés comme le pâté en croûte enentrée et la blanquette de veau à l’ancienne, et pour finir, le Paris-Brest ou la crème brûlée : parfait pour une froide soirée d’hiver.

Le Petit Rétro, 5 rue Mesnil, 75116 Paris

 

Bloom, des sushis à base de plantes comme vous n’en avez jamais goûté

Cette adresse est très spéciale, car c’est la seule dans son genre qui sorte du lot à Paris. Non seulement ce restaurant propose de savoureuses alternatives de sushis sans viande ni poisson pour lesquelles vous traverseriez la ville, mais les intérieurs lumineux tout en bois inspirés du courant Wabi Sabi par le Studio LouisMorgan sont magnifiques.

Conçu par le chef mexicain Christian Ventura, qui vit et travaille à Montréal, il a été porté par un trio d’entrepreneurs français qui ont eu le coup de foudre pour cette idée. Et ce n’est pas étonnant. Les plats sont si savoureux, grâce à des produits choisis avec soin et à des sauces acidulées que le chef garde secrètes, qu’ils surpassent facilement certains restaurants de Paris proposant des sushis plus traditionnels.

Commandez le sushi californien Dragon Eyes composé de patate douce, d’asperges tempura, de poivron grillé et d’avocat avec une sauce pesto épicée ou le rouleau de printemps maki au champignon Enoki, daïkon, pomme, mangue et sauce ponzu. Goûtez à l’éventail de créations de Bloom dans un menu Omakase de 16 sushis, tous magnifiquement présentés.

Bloom, 99 rue Jouffroy d’Abbans 75017 Paris

 

Alfred, une nouvelle version des classiques de la brasserie française

Un nouveau bistrot arty dont les intérieurs évoquent les œuvres de Mondrian adaptées par Yves Saint-Laurent pour ses robes de cocktail. Au menu, vous trouverez des classiques français comme l’œuf-mayo à la livèche, les œufs de truite et le croque-madame au reblochon et au jambon Maison Montalet, mais avec une touche contemporaine. La demi-finaliste de Top Chef Alexia Duchêne, qui supervise la cuisine, a donné aux classiques français une touche plus légère.

Ouvert par quatre frères qui ont fait appel à l’agence Necchi Architecture pour les intérieurs, inspirés par le bistrot de l’Etoile de Mer conçu par Eileen Gray, attenant à l’emblématique cabine de plage du Corbusier à Roquebrune-Cap-Martin, dans le sud de la France, Alfred a été nommé en l’honneur du dramaturge français Alfred de Musset qui vivait à proximité, et est en train de devenir le nouveau lieu de rencontre de la mode.

Pour les fêtes plus privées, il y a une petite alcôve fermée par un rideau avec une table pour environ dix personnes qui peut être réservée à l’heure du déjeuner ou en soirée.

Alfred, 8 Rue du Mont Thabor, 75001 Paris

 

Prunier, un nouveau chapitre pour la décadente maison de caviar Art déco

À l’occasion de son 150e anniversaire, Prunier, le restaurant phare de la légendaire maison française du caviar, réapparaît sur la scène gastronomique parisienne avec des intérieurs modernisés et un nouveau menu élaboré par un chef trois étoiles.

Après une rénovation complète par Alexandra Saguet, qui s’est associée aux Studios Gohard et à l’Atelier du Mur, pour redonner vie à l’éblouissant intérieur Art déco d’origine, le groupe a fait appel à Yannick Alléno et au chef exécutif Fabien François pour donner à la carte la touche qui lui manquait.

Un lieu remarquable, avec une salle à manger au rez-de-chaussée ornée de marbre noir et de détails incrustés d’or qui évoquent les bulles de champagne, délimitant le nouveau bar à champagne du restaurant qui offre la plus grande sélection de bulles du pays. La salle à manger de l’étage, enveloppée de spectaculaires panneaux de bois peints à la main d’inspiration japonaise représentant des carpes en train de nager, vaut également le coup d’œil, tout comme l’ancienne cabine téléphonique, le coin le plus photographié de Prunier, où l’on voit des personnalités comme Coco Chanel poser en tenant le récepteur de l’ancien téléphone par câble dans des photos d’archives.

Au menu, Yannick Alléno a remis au goût du jour l’iconique œuf Dior, inventé après un pique-nique d’œufs et de caviar Prunier qu’Yves Saint-Laurent, son partenaire et bras droit Pierre Bergé (également ancien propriétaire de Prunier) et Christian Dior ont dégusté à la campagne. L’œuf mollet avec du jambon de Paris et arrosé de la sauce « badaboum » de Yannick Alléno est un must.

L’œuf fait partie du menu Emile. Commencez par le saumon balik norvégien, présenté sur d’énormes plateaux en bois et servi avec des blinis et de la crème par les très sympathiques Zakaridja ou Hakeem, qui seront trop heureux de vous faire partager leur connaissance de la maison. Poursuivez avec le loup de mer, céleri et caviar, et le bœuf Strogranoff aux pommes de terre et au paprika. Il est également possible de choisir une sélection de caviars Prunier.

Marque du patrimoine français, le caviar Prunier provient entièrement de Bordeaux, et le restaurant est une véritable merveille. Réservez la table de Pierre Bergé dans le coin pour avoir la meilleure vue sur l’incroyable décor et les autres convives, un mélange de locaux et de visiteurs fortunés.

Prunier, 16 Av. Victor Hugo, 75116 Paris

 

Carmona, une cuisine méditerranéenne imprégnée de saveurs sud-américaines

Juste en face de la Seine, à quelques pas de la tour Eiffel, le dernier-né du quartier offre une multitude d’ambiances méditerranéennes et latino-américaines qui vous donneront un printemps ensoleillé cet hiver.

Dirigé par le chef colombien Estéban Salazar, dont la cuisine est axée sur l’écologie, vous pourrez déguster un crudo de dorade royale enroulée dans sa peau, assaisonné d’agrumes. Essayez les poivrons padron charnus, les pleurotes grillés au barbecue trempés dans du jaune d’œuf séché avec de l’huile d’ail et ne manquez pas le thon rouge saisi fondant, la fierté et la joie du chef. Terminez par des churros chauds et croustillants trempés dans une sauce crémeuse au chocolat colombien et accompagnés d’une glace fraîche.

Les intérieurs rose saumon lumineux sont agrémentés d’une fontaine en pierre soutenue par des arcs en forme de coquillages et des mosaïques d’arbres fruitiers colorés de la société Beau Bow by Alexis Mabille, qui s’est inspirée de l’Andalousie. Ce décor accentue la joie de vivre décontractée dont Estéban Salazar a tant besoin dans ce coin tranquille de la ville.

Carmona, 10 av. de New York, 75116 Paris

 

Arboré, une cuisine française qui met l’accent sur les légumes

Apparu sur la scène gastronomique avec ses plats parfaits présentés comme des jardins de plantes et de fleurs fraîchement cueillies dans une prairie normande, le premier restaurant de Pauline Séné, Fripon, dans le 20e arrondissement de Paris, a connu un succès immédiat. À tel point que les gastronomes parisiens se sont insurgés lorsqu’elle n’a pas obtenu d’étoile Michelin au moment de la remise des prix.

En secouant le quartier, elle a transformé les dîneurs de toute la ville en habitués. Ils ne se lassaient pas des tons sourds et apaisants du bistrot transformé et des plats copieux de Pauline Séné, où les légumes de qualité sont à l’honneur.

Candidate à Top Chef en 2021, lorsque Pauline Séné a quitté Fripon, l’Hôtel Royal Madeleine, situé à deux pas du boulevard Haussmann, l’a engagée pour créer un menu pour son nouveau restaurant dynamique, Arboré. Et elle a récidivé avec son chef exécutif qui dirige la cuisine et a fait de ce lieu un incontournable de la région.

Le restaurant Arboré se situe à côté de l’un des passages cachés de Paris, le passage Puteaux. Les dîneurs se pressent sur les tables de cette galerie parisienne animée le soir. Commandez des poireaux arrosés d’œufs de truite, de pamplemousse, de ciboulette et de noix, poursuivez avec le chou-fleur grillé et le chorizo ou, pour une touche nord-africaine copieuse, commandez l’épaule d’agneau qui est cuite au citron et à l’harissa avec du taboulé et du yaourt. Terminez avec une crème infusée au foin, avec ses figues rôties et de l’hibiscus.

Arboré, 29 Rue de l’Arcade, 75008 Paris

 

Bonnie, des classiques méditerranéens français avec une vue imprenable

La prochaine adresse à inscrire sur votre liste est Bonnie, le dernier-né du groupe hôtelier Paris Society, qui vient s’ajouter à son empire grandissant de restaurants amusants et élégants (Mun, Maison Russe, Gigi, Coco, etc.). Situé au 15e étage de l’hôtel SO/, sur les rives de la Seine, au cœur de la ville, Bonnie offre une vue sur tout Paris, mais grâce à son emplacement unique sur le fleuve et en face de la magnifique île Saint-Louis, elle est sans égale.

Admirez les élégants ponts qui relient les deux îles au milieu du fleuve depuis les tables alignées le long de la terrasse enveloppante pendant les mois les plus chauds ou depuis l’intérieur par temps plus froid, grâce aux baies vitrées qui s’étendent sur toute la longueur du restaurant et aux ingénieux plafonds en miroir de l’artiste Olafur Eliasson qui reflètent la Seine en contrebas.

Les intérieurs, signés Jordane Arrivetz, sont aussi spectaculairement chaleureux, avec d’épais tapis à motifs rétro qui donnent à l’espace une atmosphère feutrée de club privé. Au menu, des plats tels que le ceviche de dorade et le turbot parfaitement cuit, accompagnés d’un verre de vin Chassagne-Montrachet, réchaufferont n’importe quelle journée ou soirée d’hiver.

Bonnie, 10 rue Agrippa d’Aubigné, 75004 Paris

 

Madame Brasserie, une cuisine française à la hauteur de la tour Eiffel

Paris a beau changer, se moderniser, s’étendre, son emblème numéro un reste la tour Eiffel. Pour de nombreux voyageurs, c’est un rêve de la voir au moins une fois, et pour de nombreux habitants, la dame de fer n’a rien perdu de son éclat.

Ainsi, passer tout un déjeuner ou un dîner avec elle reste unique, surtout depuis que le bistrot du premier étage a de nouveaux intérieurs brillants et un menu méditerranéen entièrement revu par le chef français deux étoiles Thierry Marx.

Contrairement au restaurant gastronomique Le Jules Verne, situé au dernier étage, Madame Brasserie est plus décontractée et plus abordable. Une table avec « vue sur Paris » et un menu de trois plats comprenant du champagne et du vin au déjeuner coûte 95 euros par personne ou 175 euros pour un menu plus élaboré au dîner, et vous aurez toujours le plaisir de grimper dans le monument le plus emblématique du monde.

Madame Brasserie, Tour Eiffel, 1er, 75007 Paris

 

Hando, le bar à sushis de la rive gauche à connaître

Le quartier autour du Bon Marché avait besoin d’un lieu de restauration décontracté pour les petits appétits.

Dans le petit restaurant Hando, les clients s’installent autour d’un comptoir en bois pour déguster des sushis temakichauds et moelleux roulés à la main, composés de riz et de garnitures telles que du saumon cru enveloppé dans une feuille de nori croustillante, à manger avec les mains et à déguster avec une tasse de saké ou une bière Asahi légère et rafraîchissante, tout en discutant avec le personnel extrêmement sympathique.

En plus des sushis roulés à la main, il y a aussi des sashimis de toro, de sériole à queue jaune, de saumon et de dorade, ainsi qu’une savoureuse salade d’algues et des mochis glacés pour finir. C’est simple, savoureux et parfait pour faire une pause dans la cuisine française. Vous repartirez délicieusement rassasié et plein d’énergie pour retourner au travail ou continuer à faire du tourisme. Ils ne prennent pas de réservations, alors assurez-vous de vous y rendre tôt.

Hando, 89 rue de Sèvres, 75006 Paris

 

Noto, une institution avec un nouveau chef

Noto n’est peut-être pas un nouveau lieu, mais il vient d’accueillir un nouveau chef. Le Sarde Emilio Giagnioni pimente le menu d’un esprit méditerranéen, ajoutant des plats à la carte comme le carpaccio de tomates, le vitello tonnato et les linguini aux œufs de mulet à partager, tout en restant fidèle à la tradition italienne.

L’espace éclairé à la bougie, un décor Art déco spectaculaire avec d’épais tapis à motifs floraux et un bar en marbre, est situé au-dessus de la magnifique salle de concert Pleyel, à quelques pas des Champs-Élysées.

Réservez une table tôt pour un dîner tranquille et intime. Après 22 heures, les tables sont déplacées, un DJ s’installe et le restaurant se transforme en un club bruyant, mais chic où les clients se lâchent et se lèvent pour danser sur les tables.

Noto, 252 bis rue du Faubourg Saint-Honoré, 75008 Paris

 

Article traduit de ForbesUS – Auteure : Rooksana Hossenally

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