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Le e-learning : pierre angulaire de la réussite des petites entreprises

Entre 2019 et 2020, le nombre d’auto-entreprises a augmenté de près de 25% en France. Une croissance explosive, souvent présentée comme gage de bonne santé pour l’économie française.

 

Cependant, peu importe le secteur d’activité qu’elles concernent, ces micro-entreprises affrontent chaque jour un combat : celui d’assurer leur pérennité. TPE, PME et micro-entreprises fleurissent chaque jour, et chacune doit assurer sa subsistance sur le marché.

D’autant plus que le statut des auto-entreprises ne les autorise pas à embaucher du personnel, afin de s’occuper de leur présence en ligne. Or, aujourd’hui, le webmarketing est l’un des piliers de la réussite d’une entreprise.

À défaut de pouvoir engager quelqu’un, il est nécessaire que les chefs d’entreprises se forment par eux-mêmes. Heureusement, il existe des solutions : le elearning en fait partie.

 

Le combat quotidien des micro-entreprises

Sur la scène nationale ou internationale, il est de plus en plus compliqué pour les petites entreprises de se faire une place parmi les grandes. Tout se joue sur les réseaux sociaux, les sites internet, l’e-réputation… De l’image informatique d’une entreprise découle l’avis que les consommateurs se font d’elles.

Pour les grands groupes, ce n’est pas un problème : ils engagent des développeurs web, des community managers et des rédacteurs web pour prendre en charge la gestion de leur popularité. Mais pour les micro-entreprises, c’est une autre paire de manches. Impossible d’embaucher ou de sous-traiter. Faute de moyens : il faut s’en occuper par soi-même.

Pour la longévité d’une entreprise, il est presque inévitable de prendre les choses en main. Et pour ce faire, il faut se former ! Mais hors de question de retourner à la faculté ou dans une école, pour suivre des cours empiétant sur les horaires de travail. Il faut alors trouver une formation, et une formation suffisamment efficace pour obtenir toutes les clés de la création et gestion d’une notoriété internet. Pour ce faire, les plateformes de e-learning sont idéales.

Suivi en temps réel, aide professionnelle et certifications : l’acquisition réelle de compétences pratiques dépend beaucoup de la plateforme de e-learning en question.

 

formation elearning

 

Les plateformes de e-learning : l’accès libre à des connaissances nouvelles

Depuis 2020 en France, le nombre d’étudiants en e-learning a grimpé d’environ 15%, et ce secteur représente aujourd’hui près de 200 millions de chiffre d’affaires. Le e-learning regroupe tous les avantages de la formation, sans les inconvénients : possibilité de suivre des cours à domicile, à des heures choisies et de demander une aide spécifique en cas de besoin. Mais de nombreuses questions se posent.

Comment choisir la bonne société de e-learning ? Une formation certifiante ou non ? Quel intitulé ? Comment s’assurer d’acquérir des compétences concrètes avec des formations pratiques ? Faut-il choisir des sites de e-learning spécialisés, ou généralistes ?

C’est en vous posant les bonnes questions que vous pourrez faire les bons choix.

Des sociétés comme Openclassrooms ou Skill and You offrent par exemple de très bons services pour les personnes qui souhaitent postuler dans des entreprises munies d’un certificat de formation.

A contrario, elles se montreront peu adaptées aux publics exigeants. Comme les entrepreneurs qui ont besoin de nouvelles compétences pratiques dans des domaines spécifiques comme le marketing en ligne afin d’assurer leur survie entrepreneuriale.

Si nous prenons l’exemple des professionnels, nous nous étonnons souvent du nombre toujours croissant de création d’entreprises en France. Mais c’est sans compter sur le fait que cette croissance est avant tout supportée par la création de micro-entreprises, qui ne disposent pas de la possibilité d’externaliser leur marketing.

Selon Pierre-Xavier Rocchesani, créateur de plusieurs sociétés de développement personnel et de marketing, et fondateur de Oakmont Marketing, la qualité d’une formation est proportionnelle à son niveau de personnalisation pour les apprenants.

Et c’est d’autant plus vrai lorsque nous enseignons à des particuliers désireux de devenir indépendants, ou à des indépendants qui souhaitent pouvoir gérer eux-même leur communication sur internet.

 

L'E-learning à la rescousse des TPE | Oakmont / Open ClassRoom etc.

 

Les indicateurs d’un marché en pleine expansion

Il est donc aujourd’hui évident que la demande en termes de e-learning est croissante. Et pour faire face à une hausse aussi importante des demandes en formation, les plateformes de e-learning doivent se développer afin de se maintenir au niveau. Elles suscitent donc de plus en plus l’intérêt des investisseurs.

C’est ainsi qu’à l’international, 360Learning a levé 242 millions de dollars, lorsqu’en France, Openclassrooms a pu récolter récemment 80 millions d’euros.

Les investisseurs font également les yeux doux à d’autres sociétés comme Oakmont Marketing, et pour cause : en seulement 2 ans, cette plateforme a réalisé des marges supérieures à ses concurrents, sans nécessiter la moindre levée de fonds.

Ted Lallet, son directeur général, confie qu’Oakmont ne souhaitait pas ouvrir son capital à des investisseurs, tant que tous les projets de développement n’étaient parfaitement planifiés et réalisables sur un horizon de 6 mois.

Dans le cas des sociétés d’e-learning pluridisciplinaires le télétravail, le distanciel à l’école, l’essor des nouvelles technologies (réalité virtuelle, réalité augmentée…) poussent le e-learning toujours plus loin.

En ce qui concerne les sociétés d’e-learning tournées vers les entrepreneurs, l’augmentation du nombre d’entreprises unipersonnelles (plus de 41% des nouvelles entités selon l’INSEE) participe grandement à leur essor. Surtout lorsqu’elle est combinée au besoin grandissant des entrepreneurs de gérer leur marketing en interne.

Des faits contextuels qui font miroiter l’avenir radieux des sociétés telles que Oakmont Marketing, qui n’a pas souhaité nous en dire plus sur les éventuels investisseurs qui devraient entrer au capital pendant l’année 2022.

 

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