En pleine période de ICO (‘Initial Coin Offering”, ou offre au public de jetons), ils recherchent des investisseurs croyant aux NFT et en leur projet pour les aider à se développer. Artrade est en effet une application basée sur Solana Blockchain qui permet aux utilisateurs de visualiser, de référencer, de conserver, d’acheter mais aussi de créer des NFT. Oui, mais c’est quoi un NFT ? Quelle utilité ? Quel marché ? Et quel avenir ? Paul Weibel, CEO et fondateur d’Artrade, répond à nos questions. 

 

Quelle est l’innovation d’Artrade sur le marché des NFT ?

Paul Weibel : Artrade cherche avant tout à démocratiser les NFT auprès d’un large public, que ce soit pour les consulter, acheter, vendre, créer ou conserver. De nombreux efforts ont ainsi été réalisés par les équipes sur l’interface utilisateur, les fonctionnalités, l’innovation et la sécurisation. Nous proposons ainsi trois fonctionnalités innovantes majeures. NFT Live, tout d’abord, qui est la fonctionnalité la plus attendue : elle permet de créer un NFT “en live” (à partir d’un téléphone ou d’un appareil mobile connecté), qui sera personnalisable immédiatement via l’ajout d’effets (GIF, emoji, filtres…). Une fois mis en vente, il n’existe plus que sous forme de NFT sur la plateforme, ce qui le rend totalement unique. Autre fonctionnalité, NFT Real permettra à un utilisateur de réaliser une opération de vente d’un NFT associé à un bien physique et réel. Il sera alors possible de créer une série de NFT uniques associés à des objets réels. Un peintre pourra par exemple vendre ses toiles réelles certifiées sur Artrade grâce à la technologie NFT. Enfin, Artrade dédiera une section de son application à la consultation et la visualisation de NFT à la manière de Tumblr ou Pinterest. Cet espace personnel prendra la forme d’une galerie virtuelle qui pourra être privée ou publique. 

 

Autour de quelles valeurs s’articule Artrade ?

Paul Weibel : L’innovation, la passion, le développement durable… Mais aussi la philosophie Sanpo Yoshi, dont Artrade s’inspire pleinement dans son approche et à travers ses applications. Il s’articule autour de trois axes : “bon pour les vendeurs”, qui sont dans un cadre maîtrisé et sécurisé, qui leur permet de garder le contrôle, “bon pour les acheteurs”, qui bénéficient pour leur part d’une transparence totale et de garanties sur leurs achats, mais aussi “bon pour la société”, via la rétribution des projets en faveur du climat et des œuvres caritatives via ClimatePartner et le Blockchain Charity Wallet. 

 

En dehors de l’achat et de la vente, quelle est l’utilisation du jeton ATR ?

Paul Weibel : Le jeton ATR d’Artrade propose de nombreuses utilisations différentes. Tout d’abord, si d’autres cryptos sont acceptés, il sera la crypto-monnaie la plus utilisée sur l’application et chaque NFT acheté avec ATR bénéficiera d’un tarif réduit. Une fois le NFT acheté, les utilisateurs pourront l’afficher dans leur galerie privée ou publique. Chaque NFT exposé donnera lieu à une fraction du jeton par jour en fonction du prix et de la popularité du NFT. Une fonction de staking sera ajoutée avec les intérêts perçus quotidiennement et sans temps de blocage minimal, permettant aux utilisateurs de quitter le pool quand ils le souhaitent. Enfin, ATR a pour vocation d’être un jeton de gouvernance permettant à son propriétaire de voter pour la stratégie de développement des applications.

Pour tout savoir sur Artrade et sur l’ICO en cours, consultez leur livre blanc.