Privacy Card – Biometric Solution est une start-up innovante qui a breveté la carte biométrique capable de protéger la vie privée de tous. 

Identifier les individus sans stocker leurs données personnelles

Elisa et Marco Giovanni Zorzan ont littéralement grandi dans ce projet. Elisa elle-même a d’ailleurs suivi des études sur les lois de la confidentialité des données relatives à la carte et au brevet. Leur père, leur a légué le brevet et la start-up après avoir produit des distributeurs pour la location de vidéos. Il a en effet conçu dans certains états, déjà à l’époque l’empreinte numérique pour la location de certains titres interdits aux moins de 18 ans. À l’origine, le problème de la location de titres inadaptés à la limite d’âge italienne était « résolu » avec une base de données contenant toutes les données des personnes, ce qui était évidemment un problème pour la vie privée (également parce que, dans les cas de réalité avec des lieux différents, ces données devaient être transmises à chaque endroit). Le forfait que propose Privacy Card comprend non seulement la carte, mais également deux appareils, un pour écrire la carte (le graveur) et un pour lire la carte (le lecteur). Cela assure une double garantie car il devient impossible de créer des clones ou de fausses cartes. Le brevet de Privacy Card possède les certifications CEE et FBI et peut donc être utilisé en Europe et aux États-Unis.

Un dispositif biométrique qui protège la vie privée

Privacy Card a la particularité de pouvoir mettre l’empreinte d’un utilisateur dans le système sans obtenir une autorisation de sa part et sans pour autant devoir accéder à ses données personnelles. Ceci permet de garantir un niveau de confidentialité très élevé et de créer par exemple, des cartes d’ouvre-porte dans lesquelles seules l’empreinte digitale de l’utilisateur et le numéro de la porte à ouvrir doivent être entrés. Chaque rédacteur est né avec un code d’identification qui lui est dédié et avec une carte maîtresse qui permet la création de cartes ultérieurement. L’auteur (qui possède un brevet ad hoc) ne dispose que d’une sauvegarde temporaire des empreintes digitales car la carte JavaCard démarre un logiciel interne qui gère la lecture de l’empreinte, le mappage et son écriture. Le lecteur ne fait que lire. Le match sur carte se produit, ce qui garantit une protection absolue car les informations ne sortent pas de la carte, le lecteur a pour seul but de valider, s’il s’agit ou non de la personne. À titre d’exemple, au moment de l’estampillage d’un employé entrant ou sortant du lieu de travail, seul le code de la carte est donné au lecteur (rien n’est lisible de l’extérieur) et les informations liées à l’utilisateur sont automatiquement cryptées. Si l’entreprise l’exige, une correspondance peut être faite avec une empreinte.

Les domaines d’application de la carte

Les champs d’application sont presque infinis, car la carte peut être utilisée dans tous les cas où il est nécessaire de vérifier qui traverse une zone à accès limité. Dans les salles de sport pour empêcher que plusieurs personnes utilisent le même abonnement, pour l’entrée des parcs d’attractions, des chambres d’hôtel, les maisons ou garage ou encore l’allumage des yachts board. Mais également pour les machines spéciales nécessitant des permis de conduire spécifiques (bulldozers, chariots élévateurs), les machines à sous (dans ce cas, il est également possible d’insérer un maximum de jeu sur la carte périodique) ou des distributeurs de cigarettes, des machines industrielles, des systèmes de paiement (au lieu des NIP pour accélérer les paiements ou le retrait de l’argent), les signatures numériques (la confirmation est un excellent système anti-fraude).

L’investissement côté entreprise (par exemple, sur l’utilisation de machines spécifiques) permet de limiter les dommages ou les utilisations et de pouvoir localiser immédiatement ce qui s’est passé en cas de problèmes, de dommages ou d’accidents. C’est une garantie importante également pour l’assurance. La société achète un rédacteur, un lecteur, un abonnement et le nombre de cartes dont elle a besoin. Pour des raisons pratiques, pour des raisons techniques la star Rio emploie le nom de cartes, mais le brevet inclut tout type d’appareil (la technologie est la même et peut être appliquée sur différents supports, par exemple la clé de la machine à café). Pour des raisons de commodité, le nom d’empreintes digitales est également utilisé, mais les données biométriques peuvent aussi être différentes (iris, paume de la main, etc.), toutes ont des processus différents, mais la procédure reste la même, le doigt est le plus facile à utiliser. 

Le département de recherche de la jeune pousse est toujours actif et en constante évolution. La jeune pousse souhaiterait à l’avenir développer d’autres systèmes et créer une solution peu coûteuse à utiliser avec n’importe quel support de l’ordinateur au smartphone. Elisa et Marco Giovanni aimeraient améliorer ce qu’ils font grâce à l’utilisation d’autres empreintes de pas et d’autres systèmes tels que l’iris ou la palme.