logo_blanc
Rechercher

Sur Un Air De Vacances : Les 70 Ans Du Bikini Chez Merci!

Rendu populaire par la nageuse et actrice Esther Williams, les actrices Ava Gardner et Rita Hayworth ou encore la sublime Ursula Andress dans le film « James Bond contre Dr. No », le bikini fait partie des pièces iconiques du vestiaire féminin. Révélant les formes des femmes au public, sa coupe suggestive scandalisa à l’époque. Depuis, le bikini est rentré dans les mœurs et s’affiche en guest dans les collections de maillots de bain. Le concept store MERCI lui rend hommage et lui dédie un bel espace aux airs de piscine et de vacances !

Sous la verrière de MERCI, les murs s’habillent de bleu aquatique et le sol de lignes blanches. Un plongeoir, des chaises longues comme sur la terrasse d’un couloir de nage complètent le tableau. Une joyeuse immersion pour retracer l’évolution du bikini, de sa création par le français Louis Réard jusqu’à nos jours. Son histoire débute en juillet 1946. Du nom d’un microscopique atoll dans le Pacifique Sud, théâtre d’essais nucléaires américains qui s’y déroulent l’année de sa conception, ce maillot fait l’effet d’une bombe lors d’un défilé de “la plus jolie baigneuse” à la très courue piscine Molitor.

Il y a de quoi à l’époque : le bas se résume à deux petits triangles reliés par une cordelette, dévoilant le nombril et les hanches ! C’est un scandale. Et un flop ! Interdit sur les plages de nombreux pays, il ne commencera sa carrière qu’une dizaine d’années plus tard grâce à Brigitte Bardot, qui prend la pose vêtue de ce sulfureux deux-pièces sur la plage du Carlton pendant le Festival de Cannes. Depuis, le bikini a acquis ses lettres de noblesse et n’a pas pris une ride. MERCI en fait une démonstration haute en couleurs avec une installation éphémère. On y découvre une multitude d’interprétations du mythique bikini avec entre autres les collections swimwear de Mimi à la Mer qui s’inspire de la palette de couleurs et des motifs fleuris des années 70, les bikinis esprit bohème-chic en crochet de She Made Me, ceux de la marque Baserange en textiles bio, les modèles de chez Tooshie surlignés de Lurex…

Pour accompagner cette jolie sélection, MERCI offre en prime une foison d’accessoires rigolos et pleins d’esprit qui sentent bon les vacances et le sable chaud. En vedette : les grosses bouées gonflables de la marque australienne Sunny Life, un irrésistible éventail de chapeaux, de capelines, d’élégants paniers et de cabas en paille. Et aussi des chaussures avec notamment une collection capsule des fameuses Tennis en toile de Bensimon habillées pour l’occasion de rayures ou de carreaux Vichy. S’ajoute de belles trouvailles que MERCI a été chinées rassemblant des peignes à cheveux, des barrettes, des élastiques à grosses fleurs typiques, des bijoux 1950 et des pièces exceptionnelles comme des sorties de bain en éponge.

Et les hommes dans l’histoire ? Ils ne sont pas oubliés ! MERCI présente en exclusivité une gamme de shorts de bain de la très sophistiquée marque britannique Orlebar Brown, les incontournables espadrilles estampillées Rivieras ainsi que les sandales Nomadic en grosse corde tressée.
Pour tous et pour rendre compte de cette fièvre créative, une sélection de beaux livres vient parfaire le propos et affirmer que le bikini est bel et bien un symbole de liberté et d’émancipation des femmes.

Jusqu’au 10 juin, expo « Bikini », chez MERCI, 111 boulevard Beaumarchais, Paris 3ème
www.merci-merci.com

 

Texte par Sandra Serpero pour Plume Voyage Magazine. © MERCI

Pour découvrir tous les autres reportages et news de PLUME VOYAGE MAGAZINE, le luxe d’un voyage léger et immobile :
http://www.plumevoyage.fr

Vous pouvez vous abonner à notre newsletter : 
http://www.plumevoyage.fr/inscription/

Vous avez aimé cet article ? Likez Forbes sur Facebook

Newsletter quotidienne Forbes

Recevez chaque matin l’essentiel de l’actualité business et entrepreneuriat.

Abonnez-vous au magazine papier

et découvrez chaque trimestre :

1 an, 4 numéros : 30 € TTC au lieu de 36 € TTC