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Christophe Negrier, directeur général d’Oracle France : « Le cloud ne doit pas être perçu comme un vecteur d’exposition à des risques supplémentaires »

L’un des points critiques de la résilience d’un système d’information, c’est la capacité à redémarrer. C’est aussi ce qu’il faut attendre d’un cloud de confiance.

« Le cloud ne doit pas être perçu comme un vecteur d’exposition à des risques supplémentaires. Les entreprises savent aujourd’hui que les moyens mis en œuvre par les acteurs du cloud sont le plus souvent bien supérieurs à ce qu’elles peuvent investir elles-mêmes », observe Christophe Negrier, directeur général d’Oracle France.

S’agissant de la protection des données personnelles, Oracle rappelle qu’il n’est pas question de vendre des données pour des actions de marketing ou de la publicité. Et sur le territoire national, de nouvelles garanties sont apportées : « Après Marseille, nous venons d’ouvrir, en juin, notre deuxième datacentre en France, situé celui-là en région parisienne, ce qui nous permet de proposer différents scénarios de redémarrage après sinistre », précise Christophe Negrier.

Pour sa part, le Crédit Agricole a retenu l’offre Cloud@customer, qui consiste à installer dans son propre datacentre une solution de cloud public comme cloud de confiance. Celui-ci supporte une plateforme de services à la demande (PaaS) pour les applications critiques de la banque.

 

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