logo_blanc
Rechercher

La médecine esthétique se démocratise et séduit un public de plus en plus large


Les injections d’acide hyaluronique ou de Botox par exemple, sont très largement connues du grand public et ont largement contribué à démocratiser la discipline.

La médecine esthétique doit être pratiquée par des médecins ayant reçu une formation académique a la fois théorique et pratique de haut niveau, d’autant que cette discipline s’adresse à des sujets « non malades » et que par conséquent le résultat doit être là, sans aucune prise de risque technique !

Mais malheureusement de nos jours, on assiste à l’apparition de pseudo médecins esthétiques ou de fake injectors. Il suffit pour s’en convaincre de voir les recherches Google pour « formation injection botox sans être médecin » ou encore « formation en médecine esthétique sans diplôme » qui explosent littéralement. Des médecins sans formation académique en médecine esthétique, formés uniquement lors de rares workshops et ateliers pratiques, ou encore plus grave, des non-médecins qui se disent « médecins esthétiques » font des ravages, en prodiguant des actes médicaux dans l’illégalité absolue !


Au cœur de l’excellence en médecine esthétique : la WAAAM ACADEMY

La WAAAM, WORLDWIDE ACADEMY OF ANTIAGING and AESTHETIC MEDICINE, est un organisme d’enseignement académique de haut niveau, assurant à ses membres cinq cursus diplômants de haute expertise en médecine esthétique, en médecine préventive antiâge, en greffe capillaire, en amincissement médicalisé et en lasers et autres plateformes médico-esthétiques.

La qualité d’apprentissage au sein de la WAAAM se mesure par le très fort engouement de médecins issus de divers pays et de divers continents, qui s’y inscrivent en masse et plébiscitent son haut niveau d’enseignement théorique et pratique. Le succès de la WAAAM est tel, que des terrains de stage pratique s’ouvrent régulièrement dans le monde, que ce soit en Europe (Belgique, Turquie et Suisse), dans la région du Moyen Orient et de l’Afrique du Nord (Dubaï, Tunisie, Algérie et récemment le Maroc), avec la mise en place prochaine en 2024 de nouveaux terrains de stage au Luxembourg, en France, voir même à Séoul en Corée du sud !

Pour mesurer encore plus le succès de la WAAAM, il suffit de voir le nombre de médecins qui s’inscrivent à l’un de ses cursus, pour ensuite choisir de s’inscrire parallèlement à un ou plusieurs de ses autres cursus après s’être convaincus de la qualité de cet organisme.
Plus de la moitié des inscrits à la WAAAM suivent le cursus de haut niveau en médecine esthétique tout en suivant, toujours au sein de la WAAAM, un cursus en greffe capillaire, un cursus en médecine antiâge, un cursus d’amincissement ou un cursus sur les lasers et plateformes médico-esthétiques.

En questionnant quelques médecins formés à la WAAAM, notamment sur ce qui les a amenés à s’y inscrire, ils sont tous unanimes pour dire que c’est la qualité de l’apprentissage pratique qui a guidé leur choix d’organisme de formation. Contrairement aux autres organismes dont les sessions pratiques sont pour la plupart des ateliers de démonstration par les formateurs, parfois avec du sérum physiologique pour remplacer les vrais produits, parfois sur des cadavres en lieu et place de vrais modèles et patients, à la WAAAM, le médecin pratique sur de vrais modèles, avec de vrais produits, en petits groupes, sur plusieurs journées, tous les actes pratiques de médecine esthétique. Chaque médecin doit réaliser jusqu’à 50 actes inscrits au programme lui-même, du vrai HANDS-ON !

Face à une quasi-absence de règlementation sur la pratique de la médecine esthétique, dans la majeure partie des pays, il est important que le grand public s’oriente vers des médecins ayant reçu une réelle formation académique avec un apprentissage pratique réel et conséquent !

Il est tout aussi important que ces médecins puissent régulièrement mettre à jour leurs connaissances lors de congrès scientifiques notamment car cette discipline en plein essor est également très évolutive avec l’apparition régulière de nouvelles techniques et l’amélioration des techniques existantes.

La WAAAM, par exemple, assure annuellement à ses diplômés des mises à jour des connaissances !

En aucun cas, l’expertise en médecine esthétique ne peut se faire par de simples ateliers pratiques ou workshops, par des séminaires organisés par des laboratoires et autres entités commerciales, ni même par le fait de simplement assister à des congrès scientifiques !

Nous recommandons fortement aux médecins souhaitant pratiquer la médecine esthétique de s’orienter vers des organismes de formation qualitatifs proposant de vrais cursus académiques ; Nous recommandons aux non-médecins de ne pas céder aux chants de sirènes de pseudo-organismes de formation qui proposent d’en faire des médecins esthétiques sans avoir effectué des études de médecine ; Et enfin nous recommandons aux patientes et patients de bien choisir leur médecin esthétique, de vérifier que ceux-ci sont avant tout médecins, qu’ils exercent dans une structure médicale (cabinet, clinique) et qu’ils ont suivi une réelle formation académique en médecine esthétique auprès d’un organisme de qualité.

Abonnez-vous au magazine papier

et découvrez chaque trimestre :

1 an, 4 numéros : 30 € TTC au lieu de 36 € TTC