Avocates de tous les moments de la vie, accessibles, rapides et connectées, Camille Pratdessus et Victoire Adnot donnent un coup de frais à la profession, en témoignent leurs comptes TikTok, Instagram et Facebook.
1 cabinet, 2 avocates, 0 intermédiaire
Les avocates Camille Pratdessus et Victoire Adnot ont un parcours différent et pourtant les mêmes fondements. Avant de préparer l’examen du barreau, Camille exerce en tant que juriste auprès du Procureur de la République du tribunal de Bayonne, découvre le quotidien du parquet, ses métiers et ses rivalités. L’ancienne gymnaste de haut niveau en ressort avec la confirmation d’un principe : la combativité ne doit pas effacer la nécessité du travail en équipe avec tous les acteurs du monde judiciaire. Conseillère clientèle en agence bancaire avant de reprendre ses études de droit, Victoire y apprend la rigueur des contrats, mais aussi toute l’importance d’une relation clients de confiance. Animées par les mêmes valeurs humaines, les deux jeunes femmes débutent leur carrière dans les affaires familiales avant de cofonder début 2024 leur propre cabinet : C2V Avocats.
Situé à Bayonne, à 5 minutes à pied du tribunal, C2V Avocats défend « la veuve et l’orphelin, et le voyou », complète Victoire. Profondément attachées aux libertés et aux droits fondamentaux, les avocates sont « à l’écoute sans distinction des Hommes avec un grand H, c’est-à-dire de tous les humains, des victimes comme des coupables ». Joignables sur leur portable, sans intermédiaire, Camille et Victoire gèrent leurs dossiers personnellement de A à Z, avec un point d’honneur : « viser la qualité, le sur mesure, et non la quantité. »
Affaires familiales, droit des contrats, du sport et pénal : 4 domaines, 2 expertes
Le cabinet C2V Avocats ne compte pas d’avocates généralistes, mais bien des expertes. Chacune dans 2 domaines bien précis.
Camille Pratdessus est la référente pour tout ce qui concerne les affaires familiales : divorce / séparation, garde d’enfants, pensions alimentaires, violences conjugales. Inspirée par sa pratique intensive du sport au niveau national, elle est également avocate en droit du sport, elle accompagne les amateurs, les professionnels et les clubs. Qu’il s’agisse de la négociation de contrats de travail, de transfert, de sponsoring ou de la gestion de contentieux, notamment dans le cadre de la lutte antidopage.
Victoire, quant à elle, intervient naturellement dans le droit des contrats (également nommé droit des obligations), notamment le droit bancaire dont elle connaît les règles et le secteur pour y avoir travaillé plusieurs années. Elle représente et conseille les particuliers et les professionnels dans les litiges liés aux vices cachés, aux factures impayées ou encore aux contrats de prêt. Son second domaine d’expertise ? Le droit pénal. Victoire assiste les victimes et les auteurs d’infraction au tribunal correctionnel comme à la Cour d’Assises.
« Nous souhaitons être un soutien pour les personnes dans tous les grands moments de la vie : le mariage, le divorce, la fondation d’une entreprise », énumèrent les avocates. Loin de l’image froide de la robe noire, elles cultivent au contraire la disponibilité. « Nous sommes là dès le placement en garde à vue, mais pas seulement. Nous pouvons aussi intervenir en amont pour éviter les procédures ».
Clarté, confiance, action : poser les bases d’une défense efficace
Réactives, connectées et à l’écoute, les deux avocates auprès des tribunaux du ressort de la Cour d’appel de Pau travaillent « dans l’anticipation » pour « offrir une rapidité » d’avancement à leurs dossiers. Tout débute lors d’un premier rendez-vous pris directement en ligne via leur site internet. Une heure réservée durant laquelle elles expliquent avec pédagogie les termes juridiques, les droits et les étapes. À la clé, un document est envoyé par email récapitulant les échanges et la convention d’honoraires. Tout est clair et transparent. « Il faut que les clients sachent dans quoi ils s’engagent. Il s’agit de leur procédure, pas de la nôtre, résume Camille. On pose des bases saines, on évoque les délais, toutes les chances et tous les risques d’aller au procès ». Sans oublier l’aspect financier. « Un procès peut coûter cher », rappellent les avocates qui privilégient autant que possible les accords à l’amiable.
Pour les clients, l’engagement commence à la signature de l’accord. Leur collaboration fera partie intégrante du processus. « Nous allons récupérer un maximum d’informations, synthétiser leur parole pour faire ressortir le plus important et obtenir une vision d’ensemble. Les clients vont se décharger sur nous et nous allons prendre cette charge, nous allons protéger leurs droits, évoquent les fondatrices de C2V Avocats, pour qu’ils puissent retourner à leur vie le plus normalement possible ».