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FOCUS ENVIRONNEMENT | Le covoiturage carbure, Paris accélère (enfin) dans le solaire… et bien d’autres infos

A parking space reserved for motor vehicles for carpooling (covoiturage in french). Photograph taken in a street in the city center in Evian-Les-Bains, Haute-Savoie, France. White paint on dark gray asphalt. Clean surface. Sunlight.

En France et dans le monde, l’effort est de mise pour concilier économie et environnement. Voici les cinq initiatives écologiques de la semaine.

 


MOBILITÉ ➡ Le covoiturage courte distance a augmenté de 30 % en janvier  | Depuis le 1er janvier 2023, le covoiturage courte distance connait un succès fulgurant en France, indique Clément Beaune, ministre délégué chargé des Transports. Une progression de 30 % qui serait en lien avec les nouvelles aides mises en place par l’Etat. Les mesures prises pour encourager la pratique du covoiturage en France portent leurs premiers fruits. D’après les chiffres communiqués par Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, et Clément Beaune, ministre délégué chargé des Transports, le nombre de trajets enregistrés a été multiplié par quatre en un an, avec plus de 800.000 trajets en janvier 2023 contre 230.000 en janvier 2022.  


BIODIVERSITÉ ➡ La Banque des Territoires investit dans la Coopérative Carbone de La Rochelle | La Banque des Territoires alloue 300.000 euros à la Coopérative Carbone de La Rochelle. Une structure qui met en relation les structures locales émettrices de CO2 avec des projets locaux de séquestration carbone. Un modèle local de contribution volontaire, la Coopérative Carbone de La Rochelle propose de lutter contre le changement climatique en faisant le lien entre les acteurs émetteurs de CO2 et les projets locaux de séquestration carbone. Cette structure innovante, qui réunit citoyens, collectivités et entreprises, reçoit le soutien de la Banque des Territoires avec un financement de 300.000 euros.

 


TERRITOIRES ➡ Grenoble INP ouvre son nouveau centre d’éco-conception | Grenoble INP – UGA inaugure sur son campus le nouveau bâtiment « Ecomarch » qui accueille deux filières de formation d’éco-conception des matériaux architecturés et deux laboratoires en sciences des matériaux.Soucieux de renforcer son positionnement dans la recherche et innovation en matière de matériaux architecturés, l’institut d’ingénierie et de management Grenoble INP-UGA a déployé son projet « Ecomarch ». Ce nouveau bâtiment d’environ 2000 m2 regroupe des espaces d’élaboration et d’architecturation des matériaux, ainsi que des espaces de caractérisation mécanique et d’imagerie 3D par micro-tomographie X.

 


EAU ➡ Plus de 382 millions versés à l’Office français de la biodiversité | L’arrêté des contributions des agences de l’eau mentionnées à l’article 135 de la loi de finances 2018 à l’Office français de la biodiversité (OFB) est paru le 1er février. Par l’arrêté du 1er février, publié au Journal officiel du 9 février, les contributions des agences de l’eau à l’Office français de la biodiversité pour l’année 2023 ont été annoncées pour un montant total de 382 894 272 euros. Les sommes sont réparties par agence comme suit : agence Adour Garonne : 32 124 829 euros (8,39 %) ; agence de l’eau Artois-Picardie : 26 802 599 euros (7 %) ; agence de l’eau Loire-Bretagne : 56 898 089 euros (14,86 %) ; agence de l’eau Rhin-Meuse : 22 475 894 euros (5,87 %) ; agence de l’eau Rhône-Méditerranée et Corse : 99 207 906 euros (25,91 %) ; agence de l’eau Seine-Normandie : 145 384 955 euros (37,97 %) ; agence de l’eau Seine-Normandie : 382 894 272 euros (37,97 %).

 


ÉNERGIE ➡ Les toits de quinze écoles et gymnases parisiens seront couverts de panneaux solaires | Le 6 février, Dan Lert, adjoint à la mairie de Paris chargé de son plan climat, a annoncé le lancement d’un « grand plan solaire 2030 » d’installations de panneaux photovoltaïques sur toitures. Intitulé « Énergiculteurs », ce programme doit conduire la capitale à atteindre son objectif de produire localement 10 % (soit 563 gigawattheures par an, ou GWh/an) des énergies renouvelables qu’elle consomme, pour environ 7 % aujourd’hui.

Dans un premier temps, la Ville de Paris entend installer des panneaux solaires sur les toits de quinze bâtiments publics : écoles, collèges, gymnases et centres sportifs. Ce projet devrait couvrir la moitié des 12 000 m2 de toitures cumulés, représentant une capacité totale d’un mégawatt-crête (MWc), ou 1 GWh/an, en autoconsommation totale.

 

<<< À lire également : Leadership climatique : un rapport souligne la menace liée au manque de mesures prises par les entreprises  >>>

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