Rechercher

Le cours de l’action Nvidia peut-il atteindre 200 dollars d’ici fin 2025 ?

Nvidia
Logo Nvidia. | Source : Getty images

Cet article ne traite pas de l’ascension fulgurante de Nvidia dans le contexte de l’essor de l’IA. Il ne s’attardera pas sur le fait bien connu que les GPU de Nvidia équipent environ 90 % des centres de données IA dans le monde ou que des géants technologiques tels que Microsoft, Amazon, Google et Meta continuent d’investir massivement dans ses innovations en matière de silicium. Il ne traite même pas de CUDA, l’énorme avantage concurrentiel de Nvidia qui reste d’actualité aujourd’hui.

 

Cet article ne s’attardera pas non plus sur les difficultés rencontrées par l’action en début d’année, alors que les investisseurs plaçaient la barre toujours plus haut, au point que même des résultats spectaculaires ne suffisaient plus. Et pourtant, Nvidia a non seulement retrouvé sa place de leader, mais son action atteint aujourd’hui des sommets historiques.

La question à un milliard de dollars est désormais la suivante : l’action Nvidia peut-elle atteindre 200 dollars d’ici la fin de l’année ? Ou est-ce un objectif trop ambitieux, même pour une valeur aussi solide que le leader de l’IA ?

 

Performance récente de l’action Nvidia

Le 25 juin 2025, l’action Nvidia a bondi de plus de 4 %, clôturant à un niveau record de 154,31 dollars. Nvidia a ainsi repris sa place de société cotée en bourse la plus valorisée (capitalisation boursière d’environ 3 770 milliards de dollars), devant Microsoft et Apple. Le titre est encore plus haut aujourd’hui, avec un dernier cours de clôture à 159,34 dollars, marquant un retour en force après le plus bas niveau atteint le 4 avril dernier (94,30 dollars). L’action Nvidia a perdu plus de 40 % de sa valeur entre février et avril de cette année, sans que cela soit dû à une défaillance de sa part. Les inquiétudes liées à la modération des dépenses en IA et à l’imprévisibilité des politiques tarifaires ont déclenché cette baisse.

Ce n’est pas non plus la première fois que Nvidia est confronté à une telle situation. Auparavant, le lancement de DeepSeek fin janvier avait semé le doute sur la domination américaine dans le domaine de l’IA, faisant perdre 600 milliards de dollars à Nvidia en une seule journée. Le marché était simplement en train de recalibrer sa perception de la perfection. Si DeepSeek semblait prometteur, il est loin d’atteindre le niveau d’un leader établi de l’IA comme Nvidia. La vente massive était donc injustifiée. L’action Nvidia a rebondi en moins d’un mois.

L’année dernière également, l’action Nvidia a chuté de près de 23 % entre la mi-juillet et le début du mois d’août, clôturant à 98,88 dollars le 7 août. La vente massive a été déclenchée par la crainte que les grands clients technologiques de Nvidia ne réduisent leurs budgets consacrés à l’IA. Cependant, l’action Nvidia a connu une forte reprise de plus de 30 % par rapport à ces niveaux bas, clôturant à près de 130 dollars le 19 août.

Chaque fois qu’une action de qualité chute, tout le monde se demande s’il faut acheter à la baisse. La réponse est simple : il faut étudier la cause de cette chute. Si elle est due à des raisons qui peuvent être corrigées, n’hésitez pas à acheter. Cependant, si elle résulte de faiblesses structurelles plus profondes, passez votre chemin. Ce n’est pas comme s’il n’y avait qu’une seule bonne action sur le marché.

 

L’action Nvidia peut-elle atteindre les 200 dollars d’ici la fin de l’année ?

#1. La dynamique récente suscite un regain d’optimisme.

L’écosystème d’IA profondément intégré de Nvidia lui confère une longueur d’avance sur la concurrence, et son innovation reste inégalée. Nvidia ne sort pas des sentiers battus, puisque pour cette société il n’y a pas réellement de sentiers. Cela dit, la perception des investisseurs est primordiale lorsqu’il s’agit du cours des actions. La récente reprise donne des raisons d’espérer que le marché prend enfin conscience de la véritable valeur de cette action après une période d’attentes exagérées et de corrections brutales. La peur de passer à côté (FOMO) devrait maintenir la pression à l’achat et pousser NVDA à atteindre au moins 180 dollars d’ici la fin de l’année.

 

#2. Des espoirs de rebond en Chine ?

La Chine est un marché clé pour Nvidia. Le pays représentait 17 milliards de dollars, soit 13 % du chiffre d’affaires de Nvidia pour l’exercice clos en janvier. Cependant, la part de marché de Nvidia dans la région s’est considérablement affaiblie, passant de 95 % avant 2022 à 50 % actuellement, après que les autorités réglementaires américaines ont renforcé les restrictions sur la vente de puces IA haut de gamme à la Chine, invoquant des raisons de sécurité nationale. Pour se conformer aux restrictions américaines à l’exportation, Nvidia a vendu des puces H20 à la Chine. La puce H20 est une version allégée de la puce H100, avec une puissance de calcul nettement inférieure.

Cependant, en avril, le gouvernement américain a encore renforcé les restrictions, reclassant même la puce H20 allégée comme nécessitant une licence d’exportation. Cette décision a effectivement stoppé les livraisons et porté un coup financier sérieux à Nvidia.

Le PDG de Nvidia, Jensen Huang, l’a affirmé sans détour : « L’interdiction d’exportation de la puce H20 a mis fin à notre activité de centres de données Hopper en Chine. » Jensen Huang a qualifié le marché chinois des puces IA, estimé à 50 milliards de dollars, de « pratiquement fermé à l’industrie américaine ». Il a également averti que si les restrictions à l’exportation américaines se poursuivaient, davantage de clients chinois se tourneraient vers les puces de Huawei.

Ce risque avait déjà été souligné par certains experts qui alertaient à la fois sur la menace d’une interdiction de la puce H20 et les préparatifs de Huawei pour se positionner face à la concurrence.

Nvidia a enregistré un chiffre d’affaires de 4,6 milliards de dollars pour la puce H20 avant le 9 avril, date à laquelle les nouvelles restrictions à l’exportation sont entrées en vigueur. Les répercussions financières de l’interdiction ont été considérables. Nvidia a enregistré 4,5 milliards de dollars de stocks de puces H20 invendues au premier trimestre. La marge brute est tombée à 61 %, contre 71,3 % sans les charges liées à la Chine. Dans une interview accordée au podcast Stratechery en mai, Jensen Huang a également révélé que la société avait dû renoncer à 15 milliards de dollars de ventes supplémentaires. Les prévisions de chiffre d’affaires de 45 milliards de dollars pour le trimestre de juillet auraient été supérieures de huit milliards de dollars sans les nouvelles restrictions à l’exportation.

Alors, pourquoi y a-t-il encore un espoir de rebond en Chine pour Nvidia ?

Nvidia s’adapte rapidement. Selon un article de Reuters citant des sources proches du dossier, Nvidia prévoit de construire un GPU ou un processeur graphique pour la Chine basé sur sa dernière génération de processeurs IA à architecture Blackwell, dont le prix sera compris entre 6 500 dollars et 8 000 dollars, bien en dessous de la fourchette de prix de la puce H20, qui se situe entre 10 000 dollars et 12 000 dollars. Ce prix plus bas pourrait refléter les nouvelles restrictions à l’exportation de la bande passante mémoire des GPU, une mesure cruciale pour les charges de travail de l’IA qui nécessitent un traitement intensif des données.

De plus, les développements récents suggèrent un dégel dans la position autrefois intransigeante des États-Unis à l’égard de la Chine, signalant un changement de ton plus général :

  • Les droits de douane sur les produits chinois ont été fortement réduits, passant de 145 % à 30 %.
  • Un accord commercial entre les États-Unis et la Chine est désormais en place, après des mois d’impasse diplomatique.
  • Le président américain Donald Trump assouplit sa position sur les importations chinoises de pétrole iranien.

Cela soulève une question essentielle : dans cette phase plus conciliante, est-il possible que les États-Unis reviennent également sur leurs restrictions à l’exportation de puces vers la Chine ?

Le New York Times a rapporté le 27 juin que la Chine avait confirmé les détails d’un accord commercial avec le gouvernement américain. « La Chine examinera et approuvera les demandes d’exportation de produits contrôlés », a déclaré le ministère chinois du Commerce dans un communiqué, ajoutant que « les États-Unis annuleront en conséquence une série de mesures restrictives prises à l’encontre de la Chine ».

Bien que les détails restent vagues, cet accord laisse entrevoir une désescalade significative. Quel est le facteur le plus déterminant derrière ce revirement ? Ce n’est pas un changement d’avis, mais simplement la domination de la Chine dans le domaine des terres rares, essentielles pour les semi-conducteurs, la robotique et les applications aérospatiales.

Cet accord entre les États-Unis et la Chine comprend l’engagement de Pékin à fournir des terres rares en échange de la levée par Washington des restrictions à l’exportation d’éthane, de logiciels pour puces électroniques et de moteurs à réaction. À mesure que les négociations commerciales progressent, Pékin n’hésitera pas à jouer sa « carte maîtresse » des terres rares pour rouvrir l’accès aux technologies américaines restreintes dans le domaine des puces électroniques pour l’IA.

Si les États-Unis devaient réviser ou assouplir leurs politiques d’exportation de puces ou donner leur feu vert à une nouvelle gamme de processeurs conformes, Nvidia pourrait retrouver l’accès à ce marché très lucratif. Une telle évolution renforcerait considérablement les arguments en faveur d’un cours de 200 dollars pour l’action Nvidia d’ici la fin de l’année.

Toutefois, même sans la Chine, Nvidia reste sur des bases solides grâce à sa capacité d’innovation constante.

 

#3. La croissance structurelle de Nvidia rendue possible par une innovation produit constante

La croissance de Nvidia est profondément structurelle et s’étend au-delà des GPU pour inclure les hyperscalers, les usines d’IA, l’IA souveraine, les réseaux, les jeux vidéo, la cybersécurité et les voitures autonomes. Nvidia ne se contente pas de tourner à plein régime : l’entreprise construit des moteurs de croissance entièrement nouveaux.

Le succès fulgurant de Blackwell

Au premier trimestre de l’exercice 2026, le chiffre d’affaires des centres de données de Nvidia a bondi de 73 % en glissement annuel pour atteindre 39 milliards de dollars, le chiffre d’affaires du segment « compute » (« calcul ») représentant 34,2 milliards de dollars, soit une hausse de 76 % en glissement annuel. Au cœur de cette croissance explosive se trouve Blackwell, l’architecture à la croissance la plus rapide de l’histoire de Nvidia.

  • Près de 70 % du chiffre d’affaires du segment « compute » pour les centres de données provenaient de Blackwell.
  • Les hyperscalers déploient en moyenne environ 72 000 GPU Blackwell par semaine, et Microsoft à lui seul devrait passer à des centaines de milliers de GB200, alimentant les charges de travail d’OpenAI.
  • Nvidia a déjà commencé à tester ses puces GB300 de nouvelle génération, qui devraient offrir une augmentation de 50 % des performances de calcul d’inférence FP4 par rapport aux GB200.

Usines d’IA et IA souveraine

Alors que les nations cherchent à construire des infrastructures d’IA dans leur pays en utilisant la gamme complète de Nvidia, l’IA souveraine est un solide moteur de croissance pour le leader de l’IA. Nvidia a conclu des accords dans le domaine de l’IA souveraine avec l’Arabie saoudite, Taïwan et les Émirats arabes unis.

La construction d’usines d’IA génère un chiffre d’affaires important pour Nvidia, avec des déploiements chez AT&T, BYD, Capital One, Foxconn, MediaTek et Telenor. Le nombre d’usines d’IA équipées par Nvidia a doublé en glissement annuel pour atteindre environ 100 au premier trimestre, le nombre moyen de GPU alimentant chaque usine ayant également doublé au cours de la même période.

Les nouveaux commutateurs photoniques en silicium Spectrum-X et Quantum-X de Nvidia permettront de faire passer les usines d’IA à un niveau supérieur, avec des millions de GPU. Ces commutateurs offrent une efficacité énergétique 3,5 fois supérieure, une résilience réseau dix fois plus élevée et accélèrent la mise sur le marché des produits des clients.

Autres sources de revenus

Cela nous amène au segment « networking » (« réseau »), qui s’annonce comme un contributeur essentiel pour Nvidia, avec un chiffre d’affaires de près de cinq milliards de dollars au premier trimestre, en hausse de 56 % par rapport à l’année précédente et de 64 % par rapport au trimestre précédent. La croissance de ce segment provient de NVLink, dont les expéditions ont dépassé le milliard de dollars au premier trimestre. Les clients hyperscale peuvent désormais construire des contrôleurs de périphériques et des accélérateurs semi-personnalisés qui se connectent directement à la plateforme Nvidia grâce à NVLink.

L’adoption continue de l’Ethernet pour les solutions d’IA contribue également à la croissance du réseau. Spectrum X, la première plateforme réseau Ethernet au monde pour l’IA, réalise désormais un chiffre d’affaires annuel de plus de huit milliards de dollars, avec des déploiements sur Microsoft Azure, Oracle Cloud, CoreWeave, Meta, Google Cloud et xAI.

Pour la cybersécurité basée sur l’IA, Checkpoint, CrowdStrike et Palo Alto Networks utilisent la sécurité IA et la pile logicielle de NVIDIA pour créer, optimiser et sécuriser des workflows agentiques. CrowdStrike, par exemple, a doublé la vitesse de triage de la détection tout en réduisant de 50 % les ressources dans le segment « compute ».

Le chiffre d’affaires du segment « gaming » pour le premier trimestre a atteint un niveau record de 3,8 milliards de dollars, en hausse de 42 % par rapport à l’année dernière et de 48 % par rapport au trimestre précédent, grâce aux ventes de l’architecture Blackwell.

Le chiffre d’affaires de la division « Visualisation professionnelle », qui comprend Nvidia Omniverse, a augmenté de 19 % par rapport à l’année dernière pour atteindre 509 millions de dollars, grâce à l’adoption plus large des GPU pour stations de travail Ada RTX, qui répondent aux besoins des flux de travail dans les domaines de l’accélération de l’IA, du rendu graphique en temps réel et de la simulation de données.

Le chiffre d’affaires de l’automobile et de la robotique a augmenté de 72 % par rapport à l’année dernière, pour atteindre 567 millions de dollars, grâce aux ventes des plateformes de conduite autonome de Nvidia. Récemment, le PDG de Nvidia, Jensen Huang, a identifié la robotique comme la prochaine grande opportunité de croissance de l’entreprise après l’IA, soulignant que les voitures autonomes sont susceptibles d’être la première application commerciale majeure de cette technologie.

 

#4. Évaluation : le cours record de l’action laisse encore entrevoir un potentiel de hausse

Même à des niveaux records, l’action Nvidia n’est peut-être pas aussi chère qu’on le prétend. Certaines mesures d’évaluation suggèrent une marge de progression :

  • Ratio PEG. Le PEG historique de Nvidia (0,63) affiche une décote de 39 % par rapport à la médiane du secteur, qui est de 1,04. Son PEG prévisionnel (1,29) affiche également une décote de 33 % par rapport à la médiane du secteur (1,91) et de 27 % par rapport à sa propre moyenne sur cinq ans (1,78).
  • EV/EBITDA. Les multiples historiques et prévisionnels affichent une décote d’environ 32 % par rapport à la moyenne sur cinq ans.
  • Prix/flux de trésorerie. Le multiple TTM affiche une décote de 30 % et le multiple prévisionnel une décote de 24 % par rapport à leurs moyennes respectives sur cinq ans.

Il est intéressant de noter que ces niveaux de décote correspondent étroitement à la hausse d’environ 25 % à 30 % dont Nvidia aurait besoin pour atteindre 200 dollars. La question n’est donc plus de savoir si l’action Nvidia peut atteindre 200 dollars, mais plutôt quand les investisseurs seront prêts à intégrer cette hausse dans leurs valorisations.

Alors, que disent les analystes à propos de l’action Nvidia ?

 

Le point de vue des analystes sur l’action Nvidia

Nvidia bénéficie actuellement d’une note « Strong Buy » (achat fortement recommandé) avec un objectif de cours à 12 mois de 174 dollars par action.

Loop Capital a relevé son objectif de cours pour Nvidia de 175 dollars à 250 dollars, tout en maintenant sa note « buy » (achat). Dans une note à ses clients, l’agence de notation a déclaré : « Nos travaux suggèrent que nous entrons dans la prochaine “vague dorée” de l’adoption de l’IA générative et que NVDA est à l’avant-garde d’une nouvelle phase de demande plus forte que prévu. »

Cantor Fitzgerald a maintenu sa note « buy » avec un objectif de 200 dollars, citant des fondamentaux solides et des perspectives de croissance élevées jusqu’en 2025, et en particulier en 2026.

 

Quels sont les risques ?

Voici quelques obstacles qui pourraient se dresser sur la route de Nvidia :

  • Plusieurs rapports faisant état de plus d’un milliard de dollars de ventes d’initiés. Un rapport du Financial Times indique que des initiés de Nvidia ont vendu pour plus d’un milliard de dollars d’actions au cours de l’année dernière, dont plus de 500 millions de dollars le mois dernier, alors que le cours de l’action Nvidia atteignait des niveaux records. Si les ventes d’initiés ne sont pas nécessairement un signal d’alerte, le moment choisi pour réaliser des bénéfices semble curieux (si l’article est exact). Pourquoi ne pas attendre que les cours montent davantage ?
  • Activité en Chine. La perte de 15 milliards de dollars de chiffre d’affaires liée à l’arrêt de l’activité Hopper en Chine reste un coup dur, malgré la bonne santé de Nvidia ailleurs.
  • Possibles contraintes d’approvisionnement pour Blackwell. La production de Blackwell a atteint un niveau record. Avec une demande en plein essor, est-ce que Nvidia risquerait de faire face à des problèmes d’approvisionnement à court terme ?
  • Risques préexistants tels que la fatigue des dépenses d’investissement chez les hyperscalers. Les principaux clients tels que Microsoft, Meta et Amazon attendent toujours de voir des retours tangibles sur leurs investissements dans l’IA et travaillent tous sur leurs propres puces personnalisées.

 

Conclusion

L’action Nvidia devrait atteindre au moins 180 dollars d’ici la fin de l’année, soutenue par une réévaluation de son PEG prévisionnel à environ 1,47, si le sentiment du marché reste positif. Les principaux catalyseurs seront les annonces de résultats pour le reste de l’année, mais tout dépendra de la perception du marché.

Nvidia peut continuer à générer des résultats exceptionnels, mais si ceux-ci ne répondent pas aux attentes déjà élevées des investisseurs, l’action Nvidia pourrait marquer une pause ou reculer.

Cela dit, à long terme, Nvidia est une société à croissance structurelle, dotée de leviers de croissance profondément ancrés et bénéficiant d’une forte dynamique dans le domaine de l’IA. Toute baisse du titre devrait constituer une opportunité d’achat.

Si la politique chinoise en matière d’exportations venait à changer, l’action Nvidia pourrait atteindre son objectif de 180 dollars encore plus tôt et être en bonne voie pour atteindre 200 dollars d’ici la fin de l’année.

 

Veuillez noter que Sasirekha Subramanian n’est pas conseillère en investissement agréée et que les lecteurs doivent effectuer leurs propres vérifications avant d’investir dans cette action ou dans toute autre action. Sasirekha Subramanian n’est pas responsable des décisions d’investissement prises par des particuliers après avoir lu cet article. Les lecteurs sont invités à ne pas se fier aux opinions et analyses exprimées dans cet article et à effectuer leurs propres recherches avant d’investir.

 

Une contribution de Sasirekha Subramanian pour Forbes US, traduite par Flora Lucas


À lire également : Avec DGX Cloud Lepton, Nvidia ambitionne de créer un écosystème mondial dédié à l’IA

Vous avez aimé cet article ? Likez Forbes sur Facebook

Abonnez-vous au magazine papier

et découvrez chaque trimestre :

1 an, 4 numéros : 30 € TTC au lieu de 36 € TTC