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Emmanuelle Olivié-Paul, Présidente d’AdVaes : « Le cloud de confiance doit s’inscrire dans une démarche écoresponsable »

Par essence, le cloud de confiance doit être vertueux ou du moins écoresponsable. Il sera d’autant plus crédible s’il contribue à diminuer l’empreinte environnementale.

Le cloud de confiance implique des architectures et l’activation de couches de services spécifiques pour répondre aux enjeux qui lui sont propres : « Ces éléments peuvent générer des consommations supplémentaires en termes de ressources et, par conséquent, en termes d’énergies associées pour les concevoir et les opérer ensuite. Sur les couches applicatives, certains services de protection de données peuvent accroître la charge des serveurs sur lesquels ils sont exécutés de + 50 % à un instant T » explique Emmanuelle Olivié-Paul, présidente et fondatrice du cabinet d’études AdVaes.

Et d’ajouter : « Il peut également être nécessaire de doubler certains équipements afin de garantir une meilleure résilience des infrastructures en cas d’incident. »

« Tous ces éléments se traduisent par un accroissement de l’empreinte environnementale. »

Il est vrai que peu de travaux ont encore été menés sur le sujet, notamment sur l’éco-conception de solutions de cloud de confiance, sur le juste équilibre à trouver pour garantir la confiance et respecter la planète.

Par essence, le cloud de confiance doit être vertueux ou du moins écoresponsable. Il sera d’autant plus crédible s’il contribue à diminuer l’empreinte environnementale.

 

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