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Prix Du Photographe De Nature De L’Année : Le Vote Du Public Est Ouvert

Under the Snow, par Audren Morel, France : le blizzard neigeux n’arrête pas cet écureuil venu observer le photographe, à l’origine venu pour immortaliser des oiseaux dans le petit village de Les Fourgs, dans le Jura. Photo : WILDLIFE PHOTOGRAPHER OF THE YEAR.. NATIONAL HISTORY MUSEUM – LONDON

Le Muséum d’Histoire Naturelle britannique a ouvert les votes afin de permettre au monde entier d’aider à choisir un des lauréats du célèbre prix du Photographe de Nature de l’Année.

Vous pouvez d’ores et déjà voter pour le gagnant de la catégorie « People’s Choice Award », récemment créée suite à un partenariat entre l’exposition du concours et Lumix, afin de mettre en avant les participations exceptionnelles sélectionnées par le public.

Les votant ont le choix entre 25 images pré-sélectionnées par le muséum parmi plus 45 000 participations provenant de 95 pays envoyées pour le concours.

Forbes en a sélectionné 16, mais vous pouvez consulter la liste complète des photos concernées par le vote.

 

Clam Close-Up, par David Barrio, Espagne. Photo : WILDLIFE PHOTOGRAPHER OF THE YEAR.. NATIONAL HISTORY MUSEUM – LONDON

 

Cette photo macro d’une palourde iridescente a été prise en mer Rouge, à Marsa Alam (Egypte). Ces coquillages passent leur vie incrustées dans des coraux durs, où ils nichent et grandissent.

 

Resting Mountain Gorilla, par David Lloyd. Photo : WILDLIFE PHOTOGRAPHER OF THE YEAR.. NATIONAL HISTORY MUSEUM – LONDON

 

Ce bébé gorille est resté accroché à sa mère tout en gardant un oeil curieux sur le photographe, dans la forêt impénétrable de Bwindi (Ouganda). La famille de gorilles s’était arrêtée dans une petite clairière pour se reposer et se toiletter les uns les autres.

 

Painted Waterfall, par Eduardo Blanco Mendizabal, Espagne. Photo : WILDLIFE PHOTOGRAPHER OF THE YEAR.. NATIONAL HISTORY MUSEUM – LONDON

 

Lorsque le soleil traverse ce trou a pied de la chute d’eau de La Forada, en Catalogne (Espagne), une superbe tache lumineuse se forme. Les rayons solaires semblent peindre les gouttelettes d’eau pour créer une image magique.

 

Family Portrait, par Connor Stefanison, Canada. Photo : WILDLIFE PHOTOGRAPHER OF THE YEAR.. NATIONAL HISTORY MUSEUM – LONDON

 

Une chouette laponne et ses petits se tiennent dans leur nid, au sommet d’un sapin de Douglas brisé à Kamloops, Canada.

 

Ice and Water, par Audun Lie Dahl, Norvège. Photo : WILDLIFE PHOTOGRAPHER OF THE YEAR.. NATIONAL HISTORY MUSEUM – LONDON

 

Le glacier de Bråsvellbreen se déplace vers le sud depuis une des couches glaciaires recouvrant l’archipel du Svalbard en Norvège. Là où il rencontre la mer, le mur de glace est si haut que seules les chutes d’eau sont visibles. Le photographe a utilisé un drone pour immortaliser cette vue unique.

 

Shy, par Pedro Carrillo, Espagne. Photo : WILDLIFE PHOTOGRAPHER OF THE YEAR.. NATIONAL HISTORY MUSEUM – LONDON

 

Le motif hypnotisant de cette anémone des sables encadre parfaitement ce jeune poisson-clown de Clark, dans le détroit de Lembeh en Indonésie. Ce type d’anémone est considéré comme une « nurserie » : les jeunes poissons-clowns s’y réfugient souvent avant de trouver une anémone hôte plus adaptée une fois adultes.

 

Three Kings, par Wim Van Den Heever, Afrique du Sud. Photo : WILDLIFE PHOTOGRAPHER OF THE YEAR.. NATIONAL HISTORY MUSEUM – LONDON

 

Des manchots royaux se tiennent sur une plage des îles Malouines, alors que le Soleil se lève. Ils font ici preuve d’un comportement reproducteur fascinant : deux mâles tournent constamment autour de la femelle, utilisant leur nageoires pour se repousser l’un l’autre.

 

Sound Asleep, par Tony Wu, Etats-Unis. Photo : WILDLIFE PHOTOGRAPHER OF THE YEAR.. NATIONAL HISTORY MUSEUM – LONDON

 

Cette baleine à bosse adulte reste entre deux eaux, profondément endormie, dans l’archipel de Vava’u, aux Tonga. La fine colonne de bulles visible en haut de la photo vient des deux évents de l’animal, et indique ici qu’il se trouve dans un état de relaxation avancé.

 

Unique Bill, par Rob Blanken, Pays-Bas. Photo : WILDLIFE PHOTOGRAPHER OF THE YEAR.. NATIONAL HISTORY MUSEUM – LONDON

 

L’avocette élégante a un bec délicat unique en son genre, qu’elle manie comme une faux pour fouiller des eaux saumâtres peu profondes en quête de nourriture. Ce portrait a été pris dans la province de la Frise, aux Pays-Bas.

 

Red Silver and Black par TinMan Lee, Etats-Unis. Photo : WILDLIFE PHOTOGRAPHER OF THE YEAR.. NATIONAL HISTORY MUSEUM – LONDON

 

Un terrier dans l’état de Washington abrite une famille de renards roux, noirs, et argentés.

 

Bond of Brothers, par David Lloyd,Nouvelle-Zélande. Photo : WILDLIFE PHOTOGRAPHER OF THE YEAR.. NATIONAL HISTORY MUSEUM – LONDON

 

Ces deux mâles adultes, sans doute frères, se sont salués et ont frotté leurs gueules pendant 30 secondes avant de s’allonger.

 

Isolated, par Anna Henly, Royaume-Uni. Photo : WILDLIFE PHOTOGRAPHER OF THE YEAR.. NATIONAL HISTORY MUSEUM – LONDON

 

Photographié depuis un hélicoptère, cet arbre isolé se trouve dans un champ en bordure d’une forêt tropicale sur Kauai, à Hawaii. Les lignes droites des sillons labourés, créés par l’Homme, sont interrompus par le fouillis plus naturel des branches de l’arbre.

 

Ambush, par Federico Veronesi, Kenya. Photo : WILDLIFE PHOTOGRAPHER OF THE YEAR.. NATIONAL HISTORY MUSEUM – LONDON

 

Lors d’une chaude matinée au parc national de Mana Pools (Zimbabwe), cette vieille lionne s’est jetée du haut de la rive où elle était tapie afin de prendre en embuscade les animaux passant par là en direction d’un trou d’eau situé un peu plus loin dans le lit de la rivière.

 

Otherworldly, par Franco Banfi, Suisse. Photo : WILDLIFE PHOTOGRAPHER OF THE YEAR.. NATIONAL HISTORY MUSEUM – LONDON

 

Un banc de mantes de Munk profite d’un repas nocturne de plancton au large de l’île d’Espiritu Santo, au Mexique. Une lampe accrochée sous un bateau et un long temps d’exposition ont permis de créer cette image surréaliste.

 

Fox Meets Fox, par Matthew Mara, Royaume-Uni : le photographe a immortalisé des renards près de sa maison du nord de Londres pendant plus d’un an, et, après avoir découvert ce graffiti, rêvait de photographier ce moment. Sa persévérance a été récompensée. Photo : WILDLIFE PHOTOGRAPHER OF THE YEAR.. NATIONAL HISTORY MUSEUM – LONDON

 

Le concours, qui fête ses 54 ans d’existence, a pour but de présenter les meilleures photos de nature au monde. Il a été créé par le muséum d’histoire naturelle, qui se charge aujourd’hui encore de son organisation, et qui présentera l’exposition rassemblant les photos des finalistes jusqu’au 30 juin 2019.

Il s’agit du plus ancien concours de ce genre, et les images choisies présentent la photo de nature comme un art, tout en nous faisant réfléchir sur notre place dans le monde et notre responsabilité au moment de le protéger.

« Le prix LUMIX du public est très important pour nous, car c’est l’occasion pour le public de choisir un gagnant » explique Ian Owens, directeur des Sciences au muséum et membre du jury, « j’ai hâte de voir laquelle de ces magnifiques photos sera la favorite ».

Les votes sont ouverts et se termineront le 5 février 2019. L’oeuvre du gagnant sera exposée jusqu’au 30 juin.

Les candidatures pour la prochaine édition du concours peuvent être envoyées jusqu’au 13 décembre, sans condition d’âge ou d’expérience.

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