logo_blanc
Rechercher

Top 10 Des Réseaux Féminins À Connaître Pour Devenir Entrepreneure

getty images

Impossible de tous les citer tant ils fleurissent un peu partout en France. Certains réseaux féminins fonctionnent comme des club fermés, d’autres agissent pour mettre en avant des modèles ou lutter contre les écarts entre femmes et hommes, certains sont sectoriels, d’autres plus ouverts. Petit tour d’horizon, non exhaustif, des réseaux à connaître pour évoluer dans l’écosystème. 

StartHer : lancé en 2010 par Roxanne Varza (Station F) et Mounia Rhka (ISAI), StartHer compte promouvoir les femmes dans la tech. Le collectif organise plusieurs événements dans l’année : un palmarès annuel des femmes à suivre dans la tech, des « awards » pour primer les femmes entrepreneures et leur projet, et un baromètre des levées de fonds réalisées par les femmes en partenariat avec KPMG.

Women in Africa : Initiative menée par Aude de Thuin, fondatrice en 2005 du Women’s Forum (cf ci-dessous). Associé au cabinet Roland Berger, Women in Africa compte sélectionner chaque année les femmes entrepreneures qui construisent l’Afrique de demain. Après une première promotion de 16 lauréates, ce sont 54 femmes entrepreneures, une par pays, qui seront sélectionnées en 2018. Mise en lumière, mentoring, accès à un réseau international d’entrepreneurs et financiers pour développer leur projet.

Le Women’s Forum : le forum propose de construire un futur prenant en considération la vision des femmes. Fondé en 2005 par Aude de Thuin pour regrouper les femmes dirigeantes et leader d’opinion, le Women’s Forum se veut le pendant féminin du Forum économique mondial de Davos, qu’Aude de Thuin trouvait trop masculin. Après s’être tenu à Deauville, le « Davos des Femmes » se déroule désormais à Paris sous la coprésidence de Clara Gaymard, Anne-Gabrielle Heilbronner et Chiara Corazza.

Les Premières : Autrefois Les Pionnières, le réseau s’est émancipé en 2017 de sa maison-mère Paris Pionnières pour devenir Les Premières. Pour sa présidente Claire Saddy, il ne s’agit plus seulement aujourd’hui de soutenir l’entrepreneuriat féminin, mais donner la possibilité aux femmes de devenir les premières de leur secteur.

Financi’elles : les femmes de la finance aussi ont leur cercle. Un réseau de promotion de la mixité et de l’égalité dans le secteur de la finance. Sa mission est aussi de promouvoir l’accès des femmes aux plus hauts postes du secteur. Financi’elles a été créée car dans la finance, si les femmes sont nombreuses (plus de 50%) dans les premiers niveaux hiérarchiques, elles peinent à atteindre les postes à responsabilité (16% dans les Comex).

Led by Her : fondé en 2014 par Chiara Condi, Led by Her compte accompagner les femmes ayant subi des violences sur le chemin de la reconstruction, grâce à l’entrepreneuriat. Led by Her travaille avec un réseau d’associations et l’IESEG et l’ESCP Europe pour proposer sur l’année scolaire, et à une vingtaine de femmes, un programme de 300 heures de cours pour monter un projet entrepreneurial tout en se reconstruisant.

Actionn’elles : présente à Lyon et Paris, cette association Loi 1901 regroupe 500 femmes entrepreneures et se donne pour mission de former, accompagner et soutenir les femmes dans la création et le développement de leur entreprise. 

La JFD et le JFD Connect Club : la JFD n’est plus seulement une journée pour valoriser l’entrepreneuriat féminin. Depuis 2016, sa fondatrice Delphine Remy-Boutang propose le JFD Connect Club, un cercle fermé pour networker entre femmes, réservé à ses membres.

Grandes écoles au féminin : formé en 2002, Grandes écoles au féminin (GEF) regroupe les anciens de Sciences Po, ParisTech, l’ENA, Centrale, ESCP Europe, ESSEC, HEC, Insead, Polytechnique. Le GEF mène des études sur la parité, la mixité, la place des femmes en entreprise et dans l’économie.

Le réseau mampreneures : lancé en 2009 par Céline Fénié, une maman entrepreneure, ce réseau a pour mission de sortir de l’isolement et contribuer à la réussite des femmes qui entreprennent tout en étant mères. Depuis 2017, les femmes porteurs de projets peuvent également intégrer le réseau.

 

A lire la suite du dossier dans le 3ème numéro de Forbes France, été 2018

-Entrepreneuriat, de l’intérêt de réseauter entre femmes
-Willa « être une femme dans la tech doit être normal »

Vous avez aimé cet article ? Likez Forbes sur Facebook

Newsletter quotidienne Forbes

Recevez chaque matin l’essentiel de l’actualité business et entrepreneuriat.

Abonnez-vous au magazine papier

et découvrez chaque trimestre :

1 an, 4 numéros : 30 € TTC au lieu de 36 € TTC