Tiffany Is Not Dead !

Que serait une cérémonie hollywoodienne ou toute autre remise de prix sans les parures étincelantes de Tiffany ? Depuis plus de 200 ans, la marque de Haute Joaillerie symbole de glamour reste fidèle à son créateur Charles Lewis Tiffany qui vouait une véritable passion aux diamants et à leur effet hypnotique.

 

Aujourd’hui, la collection Tiffany Masterpieces et la toute dernière collection Blue Book prouvent une fois de plus que les diamants sont éternels…

 

 

Une maison toujours mythique

Quel est le point commun entre Halle Berry, Kate Hudson et Reese Withers­poon ?

Elles étaient toutes les trois à la dernière fête new-yorkaise de Tiffany, laissant scintiller avec grâce les créations hallucinantes de la Maison, sur des décolletés plutôt vertigineux. Une fois encore, la (quasi) plus ancienne Maison de Haute Joaillerie, pionnière en matière de luxe américain, a ébloui les convives avec des créations saisissantes d’imagination et d’un savoir-faire évidemment inimitable. Car rappelons-le, son fondateur Charles Lewis Tiffany fut le premier à introduire en 1848, les pierres précieuses aux Etats-Unis.

Pourquoi ce surnom de « The King of Diamonds » ? L’homme achetait en masse les bijoux des familles aristocratiques européennes. Son fait d’arme ultime ? Avoir acheté en 1887, près d’un tiers des joyaux de la Couronne française. Un mythe était né.

 

 

Dans la collection Tiffany Masterpieces, je demande…

… la série Tiffany Ribbons directement inspirée par Audrey Hepburn. A la clé, des pièces d’une légèreté inouïe, à la fois classiques et spectaculaires. Mention spéciale à l’époustouflant collier en platine aux sept niveaux de diamants qui épousent avec grâce les courbes du corps.

Le plus ? La possibilité de porter le collier en deux, trois ou quatre rangs. Dans le même esprit, on aime le bracelet d’une fluidité assez incroyable qui lui permet de s’enrouler autour du poignet comme de la soie. A compléter évidemment par la paire de boucles d’oreilles en diamants de tailles brillants et coussins, histoire de finir d’illuminer le visage. Plus besoin de maquillage, tout est dit.

Blue Book : l’institution

C’est une véritable institution américaine. Depuis sa première édition en 1845, la collection Blue Book se révèle chaque année aux premiers jours de l’automne. A la clé ? Des pièces uniques mettant à l’honneur les pierres précieuses les plus exceptionnelles.

Cette année, la collection inspirée de « la Nature et de la poésie des Éléments » est évidemment à se damner. Si nous devions choisir une pièce, ce serait peut-être le bracelet illuminé par un feu de l’astre et un saphir jaune de 22,11 carats entouré d’une myriade de diamants. Ou bien le collier à triple rang projetant les irisations surnaturelles de luxuriantes pierres vertes et bleues, dont une aigue-marine inouïe de 52,80 carats. Une merveille !

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